« Tel était mon Anjou, et tant pis pour la nostalgie,sentiment interdit de nos jours. Pour peu que sonne l’angélus à mon clocher, j’ai encore ardemment le cœur qui vibre en faveur de ma chère province. Elle a nourri mon être depuis si longtemps. Son air, ses parfums, ses vins fruités, son parler, sa bonhomie me comblent. »
D’églises en châteaux, du bon roi René aux guerres de Vendée, de Joachim du Bellay à Julien Gracq, de la Loire aux vignobles, de Cholet à Saumur en passant par la belle Angers, Michel Pateau nous fait découvrir son Anjou. Le tout illustré par le crayon poétique de Jacques Boutry.